dimanche 29 juin 2014

Une porte qui s'ouvre....

Le Journal de Personne

Lorsque Ramadan arrive, les portes du paradis sont ouvertes et celles de l’enfer couvertes… et chaque nuit une voix retentit :
Toi qui recherche le bien, profites-en et toi qui recherche le mal, abstiens-t-en », je cite le prophète, celui sur lequel Dieu a répandu sa grâce et sa paix.
Ramadan est voilé, il porte un voile… celui du paradis que le créateur a dessiné dans le cœur de chaque créature pour qu’elle puisse sentir la présence de Dieu.
Celui qui jeûne n’a ni faim, ni soif… ou plutôt il a faim et soif de transport… de transcendance… de sens.
Il éteint le feu de la nature et rallume le feu de l’esprit. Puis se met à contempler la nature qui meurt de soif au pied de l’esprit qui donne à boire. Pas l’eau qui rafraîchit mais l’air de l’infini. Et la souffrance intérieure se transforme peu à peu en joie supérieure. Celle de l’au-delà
La voici… la voilà… au-delà de moi… il y a l’autre… qui meurt de faim et de soif… et que seule ma Foi peut nourrir.







Article publié sur Le Journal de Personne

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