"Ma Miséricorde a précédé Ma Colère". La rancune nous enchaîne au passé. L'attente de justice nous ligote à l'avenir. Mais le pardon, magnanime, nous arrachant des mauvaises herbes persistantes de notre orgueil, nous libère du joug du ressentiment en nous enracinant dans l'éternel présent, ouvrant, par là même, à notre coeur un passage nécessaire pour que s'élèvent et fleurissent les plus nobles tiges de notre personnalité.
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